Le dernier des templiers...


Après des années de croisade en Terre sainte, le templier Behmen et son fidèle compagnon, Felson, reviennent en Europe, désabusés. Alors qu'ils aspirent à une vie paisible, ils découvrent leur pays ravagé par la peste noire et se retrouvent appréhendés par les hommes du Cardinal.
Accusés d'avoir déserté, ils risquent la prison. Ils n'ont pas d'autre choix que d'accepter une étrange mission. Ils doivent escorter une mystérieuse jeune femme, désignée comme une sorcière responsable de l'épidémie, jusqu'à un lointain monastère où elle sera jugée et où sera pratiqué un ancestral rituel purificateur...
À travers des terres hostiles et dévastées par la maladie, dans des contrées sauvages, Behmen, Felson et quelques autres, se lancent dans le plus dangereux et le plus fascinant de tous les périples. Alors qu'aux yeux de Behmen, la jeune femme apparaît de plus en plus comme un bouc émissaire, d'étranges phénomènes se produisent. Tous ne vont pas tarder à découvrir les effroyables forces qui les attendent...
 
Le dernier des films à voir. Un pot-pourri du pire de l’exorciste, du retour des morts vivants, de highlander et du nom de la rose. Un mélange mal saint de Hercule, Xena la guerrière, Les contes de la crypte et Buffy. Tout cela dans un quatorzième siècle pas très crédible. Une pure perte de temps et d’argent, un tel supplice que mon masochisme ne le supporte pas jusqu’à la fin. Les dix dernières minutes auraient été de trop pour mes yeux, j’aurai fini aveugle ou lobotomisé. Dès le début, j’ai comme senti que ça allait être dur et pénible, quand une sorcière remonte d’une rivière après avoir été pendue et noyée, pour faire payer son tortionnaire, sans que je ne ressente le moindre recul par rapport à la scène de la part du réalisateur. Il aurait pu nous servir un film drôle de série B, ou plutôt Z, s’il nous l’avait servi avec plus d’humour et de distance, genre au dixième degré au moins. Malheureusement, ce n’est pas le cas, c’est une catastrophe.

Le Discours d'un roi


D’après l’histoire vraie et méconnue du père de l’actuelle Reine Elisabeth, qui va devenir, contraint et forcé, le Roi George VI (Colin Firth), suite à l’abdication de son frère Edouard VIII (Guy Pearce). D’apparence fragile, incapable de s’exprimer en public, considéré par certains comme inapte à la fonction, George VI tentera de surmonter son handicap grâce au soutien indéfectible de sa femme (Helena Bonham Carter) et d’affronter ses peurs avec l’aide d’un thérapeute du langage (Geoffrey Rush) aux méthodes peu conventionnelles. Il devra vaincre son bégaiement pour assumer pleinement son rôle, et faire de son empire le premier rempart contre l’Allemagne nazie.

Troisième long-métrage de Tom Hooper qui signe ici le film poids lourd du début d'année, en transposant sur grand écran une histoire méconnue du grand public, celle du roi George VI, qui n'était pas prédestiné à devenir roi puisque cela devait être son frère aîné, Edward VII. Le Discours d'un roi nous entraîne en plein coeur des années 30, juste avant que l'Angleterre n'entre dans la Seconde Guerre Mondiale. On y découvre alors un George VI extrêmement angoissé à l'idée de faire ses allocutions en public, ce dernier étant atteint d'un sérieux handicap: le bégaiement ! Une tare qui le pousse à consulter bon nombre de spécialistes mais rien n'y fait, leur méthodes toutes plus saugrenues les unes que les autres ne parviendront jamais à y remédier, sauf un, un australien installé à Londres et aux méthodes peu orthodoxes. Un thérapeute au franc parlé et qui ne se rabaissera jamais devant son altesse royale, ce qui aura le don de laisser perplexe ce dernier ainsi que son entourage.
Tom Hooper fait très fort avec ce biopic passionnant à travers lequel Colin Firth nous livre une performance d'acteur mémorable d'un bègue devenu roi malgré lui. Le pouvoir et la persuasion ne pouvant donner confiance de la part d'un roi bègue, ce dernier va devoir se battre contre son démon, face à lui, Lionel Logue devra tout mettre en oeuvre pour sauver la réputation du nouveau roi. Helena Bonham Carter, Guy Pearce & Timothy Spall complètent la distribution, au grès d'une magnifique reconstitution.

Pendant ce temps, chez le Docteur Evil...



C'est pas un beau sanctuaire de méchant de fin de niveau, ça? Portail planaire, pièges partout, du gros gardien avec des piquants, du gardien avec des flammes partout. Promis, les pjs qui débarqueront là seront bien reçu!

first fight


Franchement, je n'ai compris contre qui on se battait qu'après avoir expédié ad patres quelques sales bestioles! Moi je suis pas le penseur du groupe, et quand l'halfelin a gueulé "bataille", je comatais un peu, après cinq heures de jeu, et j'ai lancé l'init à l'instinct! On démarre Eberron, le monde est trés cool, avec pas mal de possibilités et une ambiance différente, l'ensemble à l'air bien ficelé, on va alterner le rôle de DM, pour plus de fun, on part sur du scénar bien basique pour se faire la main!

Helloween


Après un premier mini-album 5 titres sobrement intitulé "Helloween" (aussi appelé "Mini LP"), le groupe sort son premier album "Walls of Jericho" en 1985, où Kai Hansen assure chant et guitare. Il y est accompagné de Markus Großkopf à la guitare basse, Michael Weikath à la guitare et de Ingo Schwichtenberg à la batterie. L'énergie et la vivacité du rythme alliées aux parties de guitares rythmiques construites et aux solos rapides mais néanmoins mélodiques, apporte un nouveau souffle au Heavy Metal et participe à l'émergence d'un nouveau genre : le Speed mélodique.

Kai Hansen ayant des difficultés à assurer en même temps guitare et chant, le groupe embauche un nouveau chanteur, Michael Kiske, et sort en 1987 "Keeper Of The Seven Keys - Part I". Cet album leur assurera une renommée mondiale et se classera assez bien en Angleterre. Outre la maturité musicale, la conception graphique participe au succès des albums :
une pochette aérographiée d'Uwe Karczewski (qui avait déjà signé les deux premières pochettes) ;
des dessins humoristiques du dessinateur belge Frédéric Moulaert (qui signera aussi la pochette du Live In The UK).


Sort ensuite en 1988 leur album certainement le plus connu "Keeper Of The Seven Keys - Part II". Cet album finit d'installer la réputation du groupe. Ce diptyque renoue avec la tradition des albums concept des années 1970, avec une certaine unité de construction déjà employée sur la première partie (une courte introduction musicale, un morceau final d'environ 1/4 d'heure) et de thèmes (les conséquences néfastes de l'activité humaine, l'autodestruction, l'exploitation des autres) qui se termine par une quête pour délivrer le monde de ses malheurs dans une ambiance médiévale-fantastique, les « duels » des guitaristes symbolisant la lutte du bien contre le mal (morceau "Keeper Of The Seven Keys").

En 1989, le groupe sort un album concert, consécutif à leur tournée européenne de 1988, et qui est publié sous trois formes en raison d'un problème avec leur label : "Live In The UK" pour l'Europe, "I Want Out Live" pour les Etats-Unis et "Keepers Live" pour le Japon, la version européenne contenant un morceau supplémentaire.

Cette situation entraîne un passage difficile pour le groupe qui traverse des tensions avec son label qui débouchent sur des procès entre celui-ci et le groupe. Les conséquences pour le groupe sont désastreuses: ils doivent rembourser leur label et se voient interdits de sortir des disques ailleurs qu'en Europe et au Japon. Kai Hansen quitte le groupe à cette époque pour fonder Gamma Ray comme annoncé officiellement pour cause de tournées trop longues, mais la réelle cause est la répétition de multiples tensions entre Michael Weikath et Michael Kiske et lui-même. Les deux autres voulant tout contrôler du groupe, il s'en ira de lui-même.

Kai Hansen a par ailleurs formé son remplaçant pour la fin de la tournée (Kai Hansen étant parti au cours de la tournée du Keeper Of The Seven Keys Part II) en la personne de Roland Grapow (Masterplan), et dans ces conditions difficiles, auxquelles s'ajoutent des rumeurs persistantes de séparation du groupe, sort en 1991 "Pink Bubbles Go Ape", album qui sera éreinté et qui ne rencontrera quasiment aucun succès. Les tensions entre Michael Kiske et Michael Weikath persistent et deux ans plus tard, en 1993 sort l'album "Chameleon" qui, loin de sortir le groupe de la crise, l'y plonge un peu plus. Le style de l'album tranche radicalement : tout en gardant le côté mélodique et construit des morceaux, la musique est plus lente et moins agressive, ce qui rebute certains fans.
Un bon nombre de morceaux ne contiennent même pas de guitare électrique ("I Don't Wanna Cry No More" ou encore "Windmill"). Le batteur Ingo Schwichtenberg est écarté du groupe pendant la tournée à cause de ses troubles mentaux (schizophrénie) et de ses problèmes d'alcool et de drogue. Il sombrera plus tard dans la dépression et finira par se suicider en se jetant sous une rame de métro le 8 mars 1995.

En 1994, le groupe signe sous un nouveau label et sort l'album "Master of the rings" avec un nouveau chanteur, Andi Deris (ancien chanteur de Pink cream 69) et un nouveau batteur, Uli Kusch (Ride The Sky). C'est le retour du succès pour le groupe, l'album reçoit enfin des critiques positives et le groupe présente une vraie cohérence entre ses membres. Suit en 1996 "The Time Of The Oath", qui consolide le succès déjà acquis par "Master Of The Rings". "The Time Of The Oath" est considéré par les fans comme le meilleur album depuis l'ère des Keeper. Le double-album concert "High Live" suivra la même année, puis un autre album intitulé "Better Than Raw" en 1998 ; toujours avec la même formation sort en 1999 un album de reprises, Metal Jukebox. Le groupe semble avoir trouvé son rythme de croisière.

En 2000 sort "The Dark Ride" puis des tensions apparaissent à nouveau. Après la tournée, Michael Weikath, qui reproche à Uli Kusch et à Roland Grapow de ne pas se concentrer assez sur le groupe mais trop sur leurs projets solos, les évince du groupe. Le groupe traverse alors une période de flottement. Ils recherchent de nouveaux musiciens ; Mark Cross est embauché pour assurer la partie de batterie, mais tombe malade et est finalement remplacé par Stephan Schwarzmann puis Mikkey Dee. Sascha Gerstner remplace pour sa part Roland Grapow à la guitare. Est donc finalement publié en 2003 l'album "Rabbit Don't Come Easy" qui remporte un certain succès auprès de la critique et du public et le groupe part en tournée. En 2004, après avoir assuré la tournée de l'album, il retourne en studio en vue d'enregistrer un nouvel album, "Keeper Of The Seven Keys - The Legacy" qui est sur le marché depuis le 31 octobre 2005. Outre le nom, il s'agit de leur vision moderne de la suite des premiers classiques du groupe. Il ne faut pas s'attendre à une copie des deux premiers, mais plutôt une continuité de leur style actuel.
En février 2007, le groupe sort un CD et un DVD Live de leur dernière tournée intitulé "Live In Sao Paulo". Ce DVD connaît rapidement du succès, et, d'après le magazine japonais Burrn!, est en première position des ventes de DVD musicaux dans les charts en mai 2007.

Le nouvel album studio, "Gambling With The Devil", a été enregistré de mai à juin 2007 à Tenerife et à Ebermannstadt. Lors de son annonce, le groupe a indiqué qu'il s'inscrirait dans la suite des Keeper mais n'aura pas le nom de ses prédécesseurs : « Les gens nous accuseraient de vouloir nous vendre » a déclaré le chanteur Andi Deris. Il est sorti fin octobre 2007. Une tournée mondiale avec Gamma Ray a débuté en fin d'année 2007 et a commencé en Europe avant de passer par l'Asie du Sud-Est, l'Australie puis l'Amérique du Sud. Elle prendra fin en Amérique du Nord et au Mexique durant la deuxième moitié de 2008.


Plastron Space Marine


Voilà mon dernier projet de costume gn, en espérant que des gens plus organisés que moi organisent un gn warhammer 40000! Sinon je veux bien faire un second rôle dans un hypothétique film, je refuse les scènes de nu par contre, mon agent est contre! Bon, le résultat est un peu bling bling (pour un univers apocalyptique, j'entend), mais c'est juste un début!

The Pixies


Les Pixies sont fondés en 1986 à Boston, dans le Massachusetts, par Charles Thompson et son colocataire, Joey Santiago. Né en Californie, Thompson commence à jouer de la musique au cours de son adolescence. Alors qu’il est à l’école secondaire, sa famille s’installe sur la Côte Est. Au termes de ses études secondaires, il s’inscrit à l’Université du Massachusetts où il étudie en anthropologie. À mi-chemin dans son cheminement universitaire, il décide d’aller étudier l’espagnol à Porto Rico. Après six mois passés sous les tropiques, il retourne à la maison avec l’intention de fonder un groupe.

Thompson laisse donc tomber l’école et déménage à Boston, réussissant du même coup à convaincre Santiago de le suivre. C’est à l’aide d’une petite annonce dans l’espoir de recruter un bassiste qui aime « Husker Du et Peter, Paul & Mary » que le duo fait la rencontre de Kim Deal (elle emprunte le nom de Mrs. John Murphey pour les deux premiers albums des Pixies) qui jouait auparavant avec sa sœur jumelle Kelly dans le groupe folk/garage the Breeders à Dayton, en Ohio. Suivant le conseil de Deal, le groupe enrôle le batteur David Lovering. Inspiré par Iggy Pop, Thompson adopte le nom de scène Black Francis et le groupe opte pour le nom Pixies, sobriquet déniché par Santiago qui fouillait dans le dictionnaire sans but précis.

À l’automne, le groupe impressionne suffisamment pour obtenir la première partie d’une autre formation de Boston, Throwing Muses. Lors du concert, un gérant d’artistes et réalisateur au studio Fort Apache de Boston, Gary Smith, offre aux Pixies d’enregistrer leurs pièces. En mars 1987, le groupe enregistre 18 chansons en trois jours. Cette maquette connue sous le nom de « Purple Tape » est distribuée à des joueurs clés dans les sphères musicales bostoniennes et internationales, dont Ivo Watts, président de l’étiquette britannique 4AD. Impressionné par ce qu’il entend, celui-ci offre un contrat au groupe qui enregistre le EP « Come on Pilgrim » paru en 1987.

La formation décide d’enregistrer son premier album, « Surfer Rosa », avec le réputé Steve Albini. Celui-ci confère un côté plus rock aux Pixies avec des guitares plus agressives, ce qui n’empêche pas la formation de conserver son penchant pour les mélodies accrocheuses. Lancé au printemps de 1988, « Surfer Rosa » obtient de nombreuses critiques favorables et devient un succès sur les ondes des radios universitaires américaines. Du côté britannique, les Pixies obtiennent un succès intéressant sur le palmarès populaire. Avant la fin de l’année, l’engouement est tel que le groupe s’entend avec Elektra Records.

À la fin de 1988, les Pixies retournent en studio, mais cette fois-ci, ils font appel au réalisateur britannique Gil Norton. Lancé au printemps 1989, « Doolittle » opte pour un son plus propre et reçoit de très bonnes critiques, ce qui mène à une plus grande visibilité aux États-Unis. « Monkey Gone to Heaven » et « Here Comes Your Man » atteignent le top 10 du palmarès rock moderne, permettant à « Doolittle » d’atteindre le 98e rang du Top 200 de Billboard alors qu’au Royaune-Uni, le disque atteint le huitième rang. Tout au long de sa carrière, le groupe est plus populaire au Royaume-Uni et en Europe qu’aux États-Unis. Les Pixies deviennent célèbres en raison des prestations sans mouvement de Black Francis et pour l’humour charmant de Deal. Le groupe sait d’ailleurs s’amuser en tournée, allant même jusqu’à jouer ses chansons en ordre alphabétique. À la fin de la seconde tournée américaine de « Doolittle » à la fin de 1989, des tensions internes commencent à émerger, de sorte que la formation décide de prendre une pause au début de 1990.

Au cours de cette interruption, Black Francis s’offre une petite tournée en solo alors que Kim Deal fonde un nouveau groupe avec Tanya Donnely des Throwing Muses et de la bassiste de Disaster, Josephine Wiggs. Elle opte pour le nom de son groupe de jeunesse, the Breeders. Cette nouvelle formation enregistre l’album « Pod » avec Steve Albini, opus qui est lance sur 4AD au cours de l’été 1990.

Quant aux Pixies, le groupe se retrouve la même année et retourne en studio avec Gil Norton. Lancé au cours de l’automne 1990, l’album « Bossanova » se veut plus atmosphérique, s’appuyant fortement sur l’obsession de Black pour le surf-rock. Contrairement au deux premiers efforts, on ne retrouve aucune chanson de Deal sur « Bossanova ». L’album est accueilli par des critiques partagées, mais remporte encore une fois un vif succès sur les ondes universitaires. En Europe, la popularité des Pixies ne cesse de croître, « Bossanova » se hissant au troisième rang du palmarès britannique. Bien que les tournées en marge de l’album soient couronnées de succès, les tensions se font de plus en plus présentes entre Kim Deal et Black Francis, à un point tel où, lors du dernier concert de la tournée anglaise, Deal annonce à la foule qu’il s’agit du dernier concert des Pixies.

La tournée américaine est annulée en raison d’épuisement, mais la formation se retrouve à nouveau au printemps 1991 afin d’enregistrer un quatrième effort en compagnie de Norton. Le groupe enrôle le claviériste Eric Drew Feldman, anciennement de Captain Beefheart et Pere Ubu, et se tourne vers un rock plus lourd, soutenant avoir été inspiré par la présence d’Ozzy Osbourne dans un studio avoisinant. Lors de sa sortie, « Trompe Le Monde » est perçu comme un retour au son familier de « Surfer Rosa » et « Doolittle ». Mais quand on y regarde de plus près, on se rend compte que l’album repose essentiellement sur le souci du détail technique. Par ailleurs, on n’y retrouve que très peu de partitions vocales de Deal alors qu’aucune de ses chansons ne figure à la liste finale. Le groupe entame une nouvelle tournée internationale, se produisant dans des stades en Angleterre, mais devant se contenter de plus petites salles en Amérique du Nord. Au cours du printemps 1992, les Pixies assurent la première partie de U2 au cours de la tournée Zoo TV. Il s’agira de la dernière tournée américaine du groupe. À la fin de la tournée Zoo TV, les Pixies prennent un autre pause. Deal reprend là où elle avait laissé avec les Breeders, lançant le EP « Safari » alors que Black Francis amorce le travail sur un album en solo.

Alors qu’il s’apprête à lancer son premier album, Black Francis confirme, lors d’une interview à la BBC, que c’est la fin pour les Pixies. Il y a toutefois un hic, il n’en a pas encore informé le reste du groupe. Il leur envoie sa déclaration par télécopieur plus tard cette journée-là. Inversant son nom de scène de Black Francis à Frank Black, il lance un album éponyme qui est accueilli tièdement par la critique. Son auditoire ne cesse de diminuer pour atteindre le statut de culte. Quant aux Breeders, ils lancent un second album intitulé « Last Splash » au cours de l’automne 1993. L’album connaît un succès étonnant et atteint la certification or aux États-Unis, grâce notamment au simple « Cannonball ». Quant à Santiago et Lovering, ils forment the Martinis en 1995.


Campagne Eberron J-18 !

18ème jour de la campagne Eberron, les joueurs bavent partout, ils sont en train de mourir à petit feu, ont pillés mon stock de pepsi, les chips se font rares, mais malgré tout, en sept heures de jeu, ils arrivent encore à faire une action intelligente, ce qui est franchement énorme!

Sanctum Sanctorum


Voilà ma modeste collection de bouquins jdr, cartes et plateaux, c'est trés focalisé sur du D&D, toutes époques confondues, mais il y aussi du white wolf et pas mal d'autres petites choses, dont une floppée d'introuvables, collectors et éditions numérotées, même que je dois penser à installer un système de protection anti-geek tendance fanatique...

Iron maiden - les années Di'anno

Paul Di'Anno, né le 17 mai 1959, est principalement connu pour avoir été le chanteur du groupe Iron Maiden durant leurs premières années. Il a participé aux deux premiers enregistrements studio du groupe. Il sera remplacé fin 1981 par Bruce Dickinson, ses abus d'alcool détériorant ses capacités vocales. Chose que l'on peut vérifier en écoutant les albums solo de Paul, qui ne se débarrassera jamais vraiment de son étiquette de chanteur de Iron Maiden. Il a même réalisé des albums en public ne contenant que des reprises d'Iron Maiden.

A son départ de Maiden, il crée son propre groupe, Lonewolf, qui enregistre les titres de l'album Trigger de la chanteuse japonaise Misako Honjoh en 1983. Puis Lonewolf devient simplement Di'Anno suite à une homonymie avec le groupe Lone Wolf, et enregistre un album. En 1985, il joua dans l'éphémère groupe Gogmagog, un seul maxi publié, avec l'ancien batteur de Iron Maiden Clive Burr et le futur guitariste du groupe Janick Gers. Il a également joué dans les groupes Battlezone et Killers.


Jedi...

Hier, j'étais peinard après l'heure de fermeture des bureaux, je bossais sur mon taf du mois prochain, quand j'ai eu envie d'aller faire cracher le cobra royal. Sans m'en rendre compte, j'ai siffloté l'air de la marche impériale, en agitant mon sabre laser au-dessus de la cuvette et en finissant par en imiter le son... Mal joué, mon patron était derrière moi et m'observait l'air catastrophé. Heureusement, c'est un fan de star wars.

Judas Priest


Fondé en 1971 à Birmingham par le guitariste Kenneth Keith Downing et le bassiste Ian Hill, Judas Priest est l'un des groupes de la fameuse NWOBHM (New Wave of British Heavy Metal). Après de nombreux changements de batteurs et de chanteurs, le groupe trouve un certain équilibre en 1973 avec l'arrivée de John Hinch à la batterie, et de Rob Halford (beau-frère de Ian Hill) au chant. L'année suivante le groupe accueille un second guitariste en la personne de Glenn Tipton, et sort son premier CD, Rocka Rolla, qui connu un succès plus que mitigé.

En 1975 le batteur Alan Moore - qui avait déjà fait partie brièvement du groupe - remplace Hinch, et le groupe enregistre Sad Wings of Destiny qui sort en 1976, gros flop encore une fois. Pour changer, le batteur Alan Moore quitte le groupe en 1977 et est remplacé par le batteur studio Simon Phillips (Jeff Beck, The Who, Joe Satriani...) le temps d'enregistrer le premier succès de Judas Priest, Sin After Sin. Produit par Roger Glover, bassiste de Deep Purple, ce disque reste l'un des meilleurs du groupe. Dès l'année suivante Les Binks arrive à la batterie et Priest enregistre Stained Class et Hell Bent for Leather (Killing Machine au Royaume Uni) la même année. Enchaînant les succès le groupe sort Unleashed In The East, son premier live, en 1979. Excellent en studio mais mal à l'aise en live, Les Binks finit par quitter Judas Priest et s'est vu remplacé par Dave Holland dès 1980.

Les années 80 sont très prolifiques pour Priest et ont vu naître les albums British Steel (culte), Point of Entry, Defender of The Faith et Turbo. En 1986 une affaire judiciaire entache la vie du groupe puisque celui-ci est mis devant les tribunaux. Un jeune a demandé à être tué par un de ces amis, par rapport aux paroles de Stained Class. L'affaire fut classée sans suite et le groupe poursuivit son chemin de route. Un nouveau live sort en 1987 et marque en quelque sorte le déclin du succès de Priest. Puis un nouvel album sort en 1988, malgré sa qualité, Ram It Down ne convainc pas, la recette s'essouffle et le public se tourne vers la nouvelle génération. Après avoir officié pendant près de 10 ans pour Judas Priest, Dave Holland est contraint de quitter le groupe pour des raisons familiales. Un jeune fan du groupe, Scott Travis, le remplace en 1990 et Priest en profite pour renouveller son répertoire en lorgnant du côté du thrash metal avec le cultissime Painkiller, véritable album survitaminé qui démontre tout le talent de Travis.

1992 marque un tournant dans l'histoire du groupe puisque que Rob Halford quitte à son tour le groupe à cause de conflits internes. Halford remplace Dio de Black Sabbath le temps d'un concert puis fonde Fight en 1992 (dans lequel joue aussi Travis), et ensuite Two avant d'entamer une carrière solo. Quant à Judas Priest, le groupe reste en suspend jusqu'en 1996, et l'arrivée d'un autre jeune fan de Priest, Tim "The Ripper" Owens, au chant. Avec Owens le groupe enregistre Jugalator (1997), le live Meltdown (1998), le médiocre Demolition (2001), ainsi qu'un énième live en 2003. Cette même année Halford retourne chez Priest, et Owens s'en va chanter avec Iced Earth. Enfin, le groupe revient sur le devant de la scène en 2005 avec Angel of Retribution et une tournée mondiale.